prénoms + Simon Alexander nom + Graffisssurnoms + Alex , Sy' , Chouchou date et lieu de naissance +18 Juin 1990âge + 22 ans origines + Française orientation sexuelle + hétéro statut civique + écrireici profession/étude + écrireici groupe + écrireici crédit + bazzart avatar + Julian Schratters

LE LIVRE DE LA VIE EST LE LIVRE SUPRÊME. QU'ON NE PEUT NI FERMER, NI ROUVRIR À SON CHOIX ; LE PASSAGE ATTACHANT NE S'Y LIT PAS DEUX FOIS. MAIS LE FEUILLET FATAL SE TOURNE DE LUI-MÊME ; ON VOUDRAIT REVENIR À LA PAGE OÙ L'ON AIME. ET LA PAGE OÙ L'ON MEURT EST DÉJÀ SOUS VOS DOIGTS.

« Ferme-là je te dis » dis-je en tournant en rond dans la pièce sombres « Simon , calme-toi , s'il te plait » « Arrête ! Laisse-moi réfléchir tranquillement Rose » « Pose cette arme, d'accord? » A instant présent, je commence à perdre pieds. Je pose mon regard sur ma meilleure amie. Ce regard, je crois bien que ne l'oublierais jamais. Je voyais en elle, une peur , sauf que je ne serais définir cette peur , une peur d'angoisse ? De terreur ? De panique ? Tellement de choses ce mélange dans ma tête ; je ne fais plus la différence du faux ou du vrai. Je suis tellement en colère contre celle-ci que je ne contrôle plus mes actes, ni même mes pensées. « Pourquoi tu n'essayes pas de me comprendre? » « Je peux comprendre Simon mais s'il te plait ..» à ce moment-là , je me souviens clairement de tout ce que Rose m'avais fait , une immense haine se propage dans mon corps , je n'ai jamais ressentie un tel sentiment et il me fait peur. Je m'approche dangereusement de mon amie qui recule en toute discrétion

Mais avant de connaitre la suite, faudrait d'abord savoir le commencement de ma vie, non? Je suis née le 25 Juillet à Toulouse, en France. Je ne connais pas très bien ma mère, je sais seulement quand elle m'a eu, cette dernière était jeune, très jeune et la responsabilité d'un enfant était de trop pour cette jeune mère ! Pour ne pas culpabilisé d'abandonner son enfant, ma mère m'envoyait dans un orphelinat très loin d'elle. Au Texas ; Je ne pourrais en aucun cas vous dire comment c'est la vie à l'orphelinat, car je ne m'en souviens guère. Etant partie à l'âge de deux ans.

Je suis née le 25 Juillet, en plein été. J'ai détruit la silhouette de ma mère pendant neuf longs mois. Je suis sûr et certaine que dans le ventre j'étais une vraie diable, à donner de coups à droite et à gauches (a). Mais bon je vais quand même vous raconter mon arrivée sur cette terre. Donc le 25 Juillet à quatre heures du matin, je décide de sortir ma petite bouille - ouais déjà emmerdeur- . Mes cris retentissent dans tout l'hôpital, mais néanmoins cela ne fait pas bonheur de mes parents. Après l'accouchement, mon père est parti, peur de la responsabilité enfantine peut-être ? Et ma mère et bien, elle est beaucoup trop jeune pour assurer un enfant. Pourtant, j'aurais tellement aimé que mes parents m’accepte, ou même avoir le fameux message évènement « Bonjour, bonjours, je suis la petit Simon Alexander Turner, je suis née le 25 Juillet. Je vous invite à mon baptême qui aura lieu dans plusieurs mois. Je vous fais à tous d'énorme bisous de mon petit berceaux ». Bon, je vous l’accord, c'est complètement ringard et inutile, mais au moins, j'aurais existé dans leur vie. Peur de devoir s'occuper de moi, ma propre mère m'envoie dans un orphelinat loin de la France. Finalement, j'ai déformé le corps de ma maman et j'ai détruits leurs unions. Quelle vie à même pas un jour.>_<


Après les couches, les culottes, Vous savez ceux avec de petits personnages de Disney imprimé dessus, mais l'enfance ne se restreint pas qu'aux dessins animés , attendez faut pas croire . Non je plaisante c'est bien vrai . Par exemple ; moi je me prenais pour un super héros ! Limite j'allais à l'école avec une cape rouge un vrai fan (a) ! Mais ce qui me donnais le plus cette impression c'était le regard de ma mère - adoptif - . Quand elle me regardait ses yeux brillaient de mille feus et son sourire était rempli de bonheur et cela me réchauffa le coeur ,car moi aussi je l'aimais ma maman . « Maman regarde-moi ! » « Je te regarde » « Je vole! » Je monte rapidement sur le muret du jardin avant de me jeter dans le vide , et là , vous pouvez imaginer l'affolement de ma chère mère , elle se précipite dans ma direction . Plus de peur que de mal au final . Seulement un bras légèrement râpé ,mais ce jour-là je n'avais pas compris pourquoi ma mère avait fondu en larme. J'étais vivant alors pourquoi pleurait-elle ? - Et oui enfant j'étais loin de me douter ce que ma mère vivait - « Maman, je vais bien.. faut pas pleurer. Pourquoi es-tu triste? » « Je pleurs ,car je suis rassure de savoir que tu vas bien mon coeur. Viens, je vais te faire des cookies » « Ooh ouiii ! J'adore cela en plus, je peux les faire avec toi ? » « Bien sûr ma chérie ; on va appeler ta soeur aussi . Lynn ! . » . Lynn fait son apparition dans la cuisine et c'est parti pour faire la cuisine ! Le plus énervant, c'est attendre que les pâtisseries cuisent . « Miaam c'est bon mais c'est chaud » dis-je en riant

Après plusieurs années de vie commune avec ma famille d'adoption. Je décide de retrouver mes parents biologiques. Vous savez, tout enfant adopter recherche un jour ou l'autre leur parent. Je ne souhaite pas tellement les connaitre, après, tout , ils m'ont abandonné. Mon réel objectif est savoir mes origines, savoir répondre aux questions posé par les professeurs. Savoir tout simplement qui je suis. Je suis très bien dans ma famille actuellement, mais le vide que j'éprouve dans mon cœur grandit chaque jour, chaque année, il est temps de percer ce secret. Je parle alors de mon projet à ma sœur, celle-ci m'écoute avec beaucoup d'attention, mais reste tout de même méfiante à cette décision. Cela peut se comprendre, mais c'est mon choix, et personne ne peut m'enlever l'idée de la tête. Un adolescent qui recherche tout simplement des réponses. Un jour avant le départ en France. Je me suis rendu à une fête, pas une fête ordinaire, la fête que tout le monde attendent avec impatience. L’alcool coule à flots et moi je picole telle un ados, fume pour frimer et me drogue pour le plaisir. « Viens Simon, on rentre. Tu as trop bu » « Laisse-moi tran..tranquille Rose » « Allez ! S’il te plait » « Roh mais relaxe toi un peu et amuse-toi » En disant ses paroles, je pousse ma meilleure amie, pas une poucettes toute gentille mais plutôt violant. Choqué par mon geste, celle-ci partie de la fête vexé. Au fond de moi, je sais que je ne suis pas en état et pourtant, j’ai quand même pris le volant, en plus d’être complètement ivre mort, je n’ai pas le permis. Je me rends compte que le lendemain matin de mon erreur. Je compose alors le numéro de mon amie mais celle-ci ne donne aucun signe de vie et ça durant des mois et des mois.


Je suis donc partie à Toulouse pour mes études mais également pour rencontrer mes parents biologiques. Le seul souci, c'est qu'ils ne sont pas enchantés de mon arrivée en ville. Me revoir leur fait ni chaud , ni froid. Aie ! Cela fait mal, même très mal. Cependant, je mentis à ma famille et enfuie le mal être qui vient d'envahir mon corps. J'essaie temps bien que mal d'étudier, de suivre mes études, mais le prénom Rose me revient sans cesse à esprit. Durant mes études, je fais la rencontre d'un jeune femme. Certes, cette dernière est beaucoup plus vielle, mais je m'en fiche. J'ai connu l'amour grâce à elle. (amoureuxet inconscient). Au départ, tout va pour le mieux. JennyLine se montre douce, attentionné à mon égard. J'étais sur mon petit nuage. Cependant, tout a changé très vite. Le comportement de Jen est devenu différent. J'ai souvent eu l'impression d'avoir une inconnu devant moi. Est-ce possible ? Comment un être aussi adorable qu’elle ,peut-elle changer en espace d'un mois ? Un soir, je la rejoins à son appartement, et la dure réalité me saute au visage. Je surpris ma petite amie dans les bras d’un autre mec, qui s’avère être son mari. « C’est toi le petit merdeux qui se tape ma femme ? » En moins de trois seconds, je me trouve à terre complètement défiguré, tellement abasourdis par la nouvelle, que je n’ai trouvé la force de lui renvoyer l’ascenseur. Je quitte se lieu, j’ai froid et je suis complètement perdu. J’ai téléphoné à Rose. « Rose » sauf que c’est la seule chose que j’ai pu dire.

Je me réveille une semaine plus tard, dans un lit d’hôpital mais que m’étais-il arrivé ?. Je me redresse avec beaucoup de difficulté « Restez tranquille Monsieur, vous vous êtes fait renversé par une voiture » « Sans blague ? » Non apparemment, ce n’est pas une blague. « Votre cas était critique, vous aurez encore mal pendant des jours ». Sauf que je ne ressens rien, aucune douleur physique mais simplement moral. Depuis ce jour-là, mon comportement a complètement changé. Je fais abstraction à tout sentiments, seule de la haine et du mépris est encore présent. Plus les mois passent, plus je deviens violent et froid envers les gens. Je ne crois plus en amour ou l’amitié, pour moi, les personnes ne sont que des hypocrites et manipulateur. Néanmoins, le manque de sentiment devient de plus en plus insoutenable, pour compenser ce manque, je me drogue et enchaîne les combats de rue. Voilà en quoi ce résume ma nouvelle vie.

De retour chez mes parents, mon comportement reste le même et mes parents ne me reconnaissent plus , ainsi que Rose. « Rose, c'est quoi cette marque ? » Je regarde la demoiselle « Ce n'est rien, tu sais que je peux être maladroite quand je m'y mets ». Je soupire et ne dit rien. Elle se penche légèrement pour attraper son sac « On va en ville ? ». Tout est allée tellement vite, qu'en espace d'une seconde, je lui attrape le bras en me relevant « Et ça c'est quoi ? » « Lâche-moi ! Ce n'est rien , Ok ? » « C'est Mike, c'est ça ? » « Non ! Il ne me fera jamais aucun mal » « Putain ! Mais arrête de le défendre Emma ! » Suite à cela, je lui dit des tas de choses, plus ou moins violente et réaliste. A ce moment, précis, elle me détestait. Je décide alors de mettre fin à tout cela en allant voir Mike.

Trois mois plus tard, je n'ai plus eu aucune nouvelle de Rose, depuis la menace de l'arme, Elle ne voulait plus entendre parler de moi et je le comprends. Quant à Mike, et bien, il ne lui fera plus aucun mal dorénavant. . Alors que je dépose mon regard dans le miroir, j'aperçois se visage remplie de bleue et de sang. D'un moment de panique, je fais mes valises et arrête mes études. Mon père adoptif ne m'a jamais pardonné ce geste. En même temps, il ne connait pas la vraie raison. La seule chose que je leur ai dit « Je suis désolé mais je ne trouve plus ma place dans notre ville. Il est temps pour moi de prendre mon envole et de partie loin d’ici. »